Inauguration du parc !!!

Par un jour magnifique d'été, le chef, le leader, l'exemple, que dis-je... Le Fondateur des MNS décida qu'il était temps douvrir le parc aux membres. Ainsi donc, il sorti du local réservé et s'avança d'un pas lent, assuré, plein de confiance, vers les portes de l'entrée.

Il passa près des piscines, qu'il toucha du but des orteils: température idéale, fraiche mais pas trop pour parfait pour la température extérieur.
Il passa également à coté des divers bars, snacks et autres boutiques de souvenirs.

Il arriva enfin devant les portes, il s'attendat à ce que les gens se soient aglutinés devant et qu'ils seraient en furie de voir que le gérant arrivait d'un train si nochalent... mais il n'en fut rien. La seule chose qui l'attendait était le vide. Le seul son qu'il pouvait entendre était le son du vent qui soufflait dans l'ouverture le porte.
Il se gratta la tete et regarda le ciel... le temps était au beau fixe, il ne comprenait vraiment pas.

Alors il décida de s'assoir contre le mur de l'entrée pour pouvoir accueillir les futurs arrivants.

Des vacances méritées, enfin !!! Note valeureux, brillant, courageux amiral Sadion reçu l'ordre d'aller surveiller les plages de Natsu. Il n'y obéit pas, comme le voulait ses principes, mais il y alla quand même avec les frais de la marine pour s'offrir un superbe séjour.

Et comme un homme de son rang, quelqu'un de presque parfait, il arriva à l'heure, à la seconde près, sur l'île, en face des portes d'entrées. Mais elles étaient fermés... La marine était vraiment qu'un ramassis de boulay, pas fichu de respecter les horaires. Il fit donc un petit tour, du complexe de l'extérieur, puis quand il revint, elles étaient ouvertes... Enfin.

Il entra, les lieux semblaient désert, si on otait à cela la présence de l'autre incompétent de Ryu qui ne savait que remplir des papiers. Il n'y fit guerre attention, ou plutôt, il le snobba en beauté avant d'aller au cabine pour se vétir de son magnifique bermuda Noir aux brodures d'argent sur le côté droit représentant deux ailes d'ange encerclant un coeur, symbole de son équipage. Il sortit de la cabine, fit don de ses affaires à un 1° classes chargé de cela et profita du soleil en se posant sur un fauteuil, mettant sur le nez ses lunettes de soleil au verre blanc, voilant son regard et s'accord à ses cheveux. Il était décidé à profiter des vacances !

Enfin, la plage venait d'ouvrir. Igmar avait glandé toute la sainte journée dans un café situé sur la grande artere de Natsu Town à siroter des cafés, qu'il avait d'ailleur pris soin de booster en Irish coffee apres ultime verification que personne ne le voyait ainsi vider peut à peut le contenu de sa flasque dans les petites tasses que lui apportaient les serveurs a interval serrés. Enfin, la grille défendant farouchement le tas de sable et de flotte s'ouvrit. Hidao quitta sa chaise en ommetant de regler l'addition. De toute facon, ce genre de commerce se regulait de lui même, nul besoin de leur rapporter une addition aussi salé que la mer qui, à présent, s'ouvrait aux touriste. Récuperant donc sa chaise longue, sa serviette de bain et son maillot de corps qui allait, à n'en pas douter, dévoiler la moindre ride de son buste rabougris, Hidao pressa le pas pour être le premier à inaugurer cet aimant à touriste. Quelques mouettes passaient candidement aux alentours du bord de mer; Le vieux avait bien fait d'emmener son arbalette. Le livre qu'il avait ramené s'averait chiant à en mourir. Rien ne valait une bonne partie de tir.
Foulant de ses orteils puant le sable chaud, le vieil homme lacha un juron. Dame, cette saloperie de caillasse grattait drolement. Fallait dire que le vieux bonhomme n'était pas habitué à la plage, sauf pour allumer les volatiles de temps en temps bien evidement. Mais à logue town, faute de mieux, on n'avait pas trouvé de place pour construire une plage. Le port prenait tout l'contours de l'ile.
Arrivé à quelques metres de la flotte, quelle ne fut pas sa surprise, sa colère aussi, de voir que deux gugusses se prelassaient deja au soleil. Exhibant sans gêne leur corps, evidement encore éppargné des menus désagrément de l'age. Pas de ride donc. Hidao en avait le monopole. Il allait leur montrer à ses deux blanc-bec que la plage n'appartenait pas à tout le monde. Elle lui appartenait à lui, son arbalette et aux cadavres de mouettes qui viendraient la parsemer d'ici peux.
Arrivé aux abords des deux gaillard, cependant, le gus reconnu, non moins de 2 amiraux. Merde alors, 2 amiraux sur 2 gars, sa devait approcher les 100% d'amiraux dans le lot. Déployant donc sa chaise non loin de ses deux gars, il entreprit de bander son arbalette, trépignant d'impatience à l'idée d'abattre une ou deux bestiolle. Sans même lever les yeux de son arme qui s'averait résistante (cela pourrait generer un incident), il leur lanca

"Merde, vous êtes dammement rapide vous deux. Voullez voir comment on tire à la mouette ?"

Alors que notre sublime héros et chef des MNS se voyait snobbé par son homologue si egocentrique. Mais il n'allait pas se laisser faire. Il se releva, remit en place ses lunettes de soleil sur son nez, puis partit à la suite de l'Amiral. Les mains dans le dos, il marchait d'un air détaché regardant autour de lui et sifflotant. Ryu s'arreta au moment où son collège entra dans les vestiaires, puis alla s'installer sur le transat à coté de Kina.

Avec un petit "Hum hum.." Il voulait attirer l'attention de celui-ci pour lui montrer qu'il se trouvait à ses cotés.

Immédiatement et sans attendre de réponses, il enchaina:

"Sois le bienvenu dans Natsu Island cher confrère. Tu es le premier arrivant dans le parc et j'aimerais reccueillir tes impressions... Ca te dérange? oh... tant mieux alors!" dit-il d'un ton enfantin et amusé.

Il fit une moue moqueuse et attendit la réaction de son interlocuteur.

Mais c'est alors qu'une étrange vieille chose vint s'installée près d'eux. Il sentait le rence et le "vieux"...
Celui-ci parlait de leur montrer comment on tirait les mouettes...
Ryu mortifié l'intérrompit!

"Mais que faites vous là malheureux!!!??? Arretez ça!! >.<"

Tsss... On vient prendre des vacances, et voilà que c'est le boulot qui revient au galot... A peine installé et la toutou des papiers était déjà en train de reccueillir les impressions. Il aurait bien imprimé la sienne du au dérangement causé à coup de lame, mais avant qu'il n'eut le temps de satisfaire une telle envie, voilà qu'un cinq étoiles, plus précisément le vieux cons, était la... Et on appelle ça des vacances...

Celui-ci voulait tué des mouettes ! Mais quelle folie ! Ces petits animaux volant, symbole de vacances et de liberté... L'autre boulay d'amiral tenta de l'arrêter par les mots, mais il n'était apparemment jamais sortit de son bureau... Le vieux sénile était trop borné pour écouter... Ainsi, discrètement, un filin d'argent alla se poser sur l'arbalète. Ce filin sortait du bras de l'amiral Sadion, et avait pour but de la recouvrir de plomb, la rendant inutilisable, et lourde pour les pauvres membres chétif et laid du vieux. Ce qui se passa assez bien, le papy ne pouvait pas lutter contre le Kin Kin de Kina.

"On touche pas les mouettes Papy. Et la maison de retraite, c'est de l'autre côté, va donc séduire tes mémés plus loin, Tas de Rides."

Avec son éternel sourire arrogant, il se moqua du cinq étoile.

Enfin les vacances. Depuis que Lya s'était engagée dans la marine, on ne lui avait jamais le plaisir de prendre quelques congés. De plus, elle s'était arrangée de manières à ce que ses vacances soient au frais de la marine. Il valait mieux que sa ne se sache pas, sinon ça risquer de mal aller pour elle. Enfin elle risquait de passer inaperçu puisque les gens étaient ici pour se détendre. Il suffisait qu'elle ne croise personne de son entourage.
A son arrivé sur les lieu, elle esseya qu'etre le plus discrète possible. Toujours à son habitude et malgrés le soleil tapant midi, elle gardait sur elle sa longue cape noire. Au loin au bord du rivage, sur une plage au sable fin et à l'eau aussi claire que le ciel, elle aperçut à ce qui semblait etre au loin, à des vacanciers. En s'avançant un petit peu, elle put les reconnaître. Il y avait sur les lieux deux amiraux et un vieillard. Le vieil homme semblait prendre un malin plaisir à éliminer au bief d'une arbalète, les mouettes qui planaient sur les brises.
Elle était amusée. C'était un sentiment qu'elle n'avait pas resentit depuis longtemps. Elle s'était engagée dans la marine dans l'espoir d'étouffer son sombre passé et faire régner la justice à sa manière, mais la marine n'était pas du tout une partie de plaisir. Plus loin, il y avait des petits cabanons. L'un d'eux était grand ouvert et Lya en profita pour s'y glisser. Dés qu'elle eu refermé la porte, elle se changea et enfila le maillot de bain qu'elle avait acheté pour l'occasion : un magnifique deux pièces rouge, avec quelques petites fleurs sur le coté. Une petite fleurs rouge dans les cheveux et une paire de lunette de soleil et elle était fin prête pour la plage.
Sur les lieux, les deux amiraux semblaient essayer de dissuader le vieillard d'arrêter ses faits. Ne semblant pas entendre raison, Lya continua son chemin et quand elle passa prés d'eux, elle utilisa son pouvoir pour crée un bras invisible qui en un instant coupa net les pieds de la chaise du vieil homme. Cela fait, elle écarta un petit sourire discret et continua doucement sa route en direction de l'eau claire.

On pouvait voir depuis le rivage une petite barque s'approchait lentement. A son bord, cinq silhouettes se découpaient clairement sur le ciel bleu. Encore trop loin pour pouvoir être identifiées, on y devinait tout de même les carrures d’une femme et de quatre hommes.
Deux d’entre eux s’étaient retrouvés préposés à la manœuvre des rames, tandis que les autres étaient aux petits soins pour la jeune femme.
Car même si elle était en vacances, Luz van Eyck ne relâchait pas la pression. Jamais satisfaite, et ce jour là particulièrement contrariée, il n’en fallut pas beaucoup pour que la jeune pirate explose.

Cette cadence est absolument infernale !! Numéro 4, jette numéro 2 par dessus bord et prend sa place.

Numéro 4, même s’il était un gaillard deux fois plus grand que la jeune femme aux cheveux verts, lui obéit servilement. Il se leva et entama une marche maladroite vers celui qui serait sa victime par procuration. Mais loin d’être suicidaire, numéro 2 sauta de lui même dans l’immensité de l’océan. Il préférait rejoindre la côte à la nage, plutôt que d’encourir les foudres du Rapace de Malachite.
Déstabilisée par le plongeon de son camarade, celle des brutes qui était debout se laissa lourdement tomber sur le banc de « ramage » [ouais, à l’heure qu’il est j’ai carrément la flemme de réfléchir XD].

Souquez ferme messieurs, je veux être là bas avant la nuit.

Si vous vous demandiez ce que « là bas » pouvait bien désigner, alors je vous conseillerais de jeter un œil (ou le buffet de vôtre grand mère, peu importe) sur le prospectus que Luz lisait et relisait depuis des heures. Il y était écrit :

Citation :: Votre vie est surbookée ? Votre travail épuisant ? Le QI total de vos subordonnés ne dépasse pas celui d’une huître avariée et personne ne vous comprend ? Votre lapin nain est dépressif ?

Oubliez d’ores et déjà tous vos soucis et venez vous prélasser sur la paradisiaque île de Natsu Town ! Encadrés par nos Marines Nageurs Sauveteurs, laissez vos querelles de côté et profitez au maximum de vôtre séjour! *

* Offre soumise à conditions.

Luz venait de dissoudre son sixième équipage lorsque ce petit bout de papier salvateur avait voleté jusqu'à ses pieds. Voyant en lui un signe du destin, et parce qu'elle écoutait toujours les signes, Luz décida qu'elle avait bien mérité un peu de repos. Constamment entourée d'incapables, elle avait du gérer son dernier coup seule, et le contrecoup s'en faisait maintenant ressentir.
Accompagnée de trois de ses quatre serviteurs, pour ne pas dire esclaves, fétiches, la jeune femme débarqua finalement sur l'île de Natsu Town. Parée de son plus beau bikini, Luz s'avança sur la plage à la rencontre du premier MNS venu.

Excusez moi Brave Marine, mais savez vous où je pourrais trouver de la crème solaire? C'est que le bon petit personnel se fait rare de nos jours, et ces incapables qui m'accompagnent ont oubliés plusieurs de mes affaires!

Son sourire le plus aguicheur collé sur le visage, la jeune femme attendait une réponse.

Tout ce passa assez vite. Alors qu'Hidao invitait cordialement ses congeneres à apprecier le spectacle, ce qu'il pensait être un spectacle tout du moins, il eut à faire face à un flot de protestation de la part de l'un des amiraux.

"quoi ras-du-ccul ? me dis pas qu't'aimes les piafs."

Un foutu binoclard qui ne comprenait rien aux distractions que pouvait offrir la vie. Suffisait de peux de chose pour s'en payer une bonne tranche. Un tas de plume faisant assez chier le monde pour que sa disparition soit applaudis, un bout de bois et un morceau de corde assez bandé pour lacher un projectile à une bonne vitesse, et un vieux gars juste assez fort pour tenir une arbalette en bois
Le probleme, c'est que ce qu'Hidao croyait être une arbalette de bois s'avera soudainement être une arbalette en plomb, bien plus lourde en somme. De deux choses l'une, soit le vieillard avait ramené une arbalette en metal depuis maria joa dans son sac sans trop rechigner à se la trimbaler deux jours durant sur le dos, soit un de ces gugusses amoureux des bestioles venait de lui jouer un sale tour. Aucune des deux solution n'était à exclure bien evidement, mais Hidao privilegiait la seconde, vu l'air impertinent qu'arborait le gamin aux cheveux gris. Quelques secondes plus tard, c'est a dire apres la remarque innacceptable du meme salopard, Hidao venait d'avoir confirmation.

"Ce ptit tour la c'est de votre crus hein ?" Fit il d'un ton plus froid qu'un pinguin mort. "M'en vais vous montrer moi s'que c'est que la plaisanterie, ptit merdeux va. En attendant, r’mets moi s’bazard comme c’était ou j’te colle un rapport sérré dans les fefesses."

Le vieux se pencha alors vers son sac et y fourra ses mains, ce fut alors que la chaise lacha. Encore une blague ? Foutus fanfarons de merde. Toujours à blaguer. On commencais par une peau de banane et, sans laisser à un chat le temps de cligner des yeux, on finissait décapité. Une gamine passa. Elle avait trop « l’air de rien » pour n’avoir l’air de rien au gout du vieux qui s’appretait à l’interpeler. Lorsqu’une voix réclamant de la crème solaire le prit de vitesse, se plaignant de surcrois. Exaspéré que la source de ladite voix l’ai coupé dans son elan, il lanca

« Non putain ! On a pas d’crème solaire ! T’avais qu’à y penser avant d’venir rabattre ton cul sous mon nez ! »

Ceci dit, il commenca à battre des bras. Rien n’va plus pensait il. Apres tout, il n’avait peut être pas tord. Rien n’allait plus, à commencer par lui.

Offusqué par ce langage toujours aussi vulgaire du vieux croulant, Ryu décida de passer outre ses remarques désobligeantes et de faire mine de n'avoir pas vu son problème d'arbalète. Il se releva fit quelques pas autour de la chaise du vieillard, quand une jeune fille passa, et coupa net les pieds de son transat qui le fit bascule dans sa chaise.
Ryu esquiva un petit sourir, et fit mine de relever ses lunettes.
Mais à sa suite, une superbe créature, courtement vétue se pointa près du vieux chnoque et lui demanda si il avait de la crème solaire... surement pour la lui étaller... Ryu ne comprenait pas comment on pouvait s'in téresser à une vieille peau comme ça,il est aigri, mal-aimable, il radotte.

Ne sachat que faire, Ryu décida d'étrainer les bassins, et créa d'une coulée de cire, un immense tobogan qui partait à plus de 50 m de haut, pour finalement faire plonger les gens dans le grand bassin.
Il fit signe aux autres de tester q'ils en avaient le courage, mais se décida à passer le premier pour tester si la structure était solide.

Il monta tout en haut de l'armature, et se laissa glisser sur la cire (qui permet de glisser si si xD) et au bout d'une bonne minute de virages et de tourbillons, il arriva enfin dans l'eau à une vitesse folle et il en pardit ses lunettes.

Pauvre Vieillard... Il en voyait de toutes les couleurs. Il serait plus docile, il pourrait passer une belle journée ici, mais comme il semble prompt à l'antipathie et la vulgarité, il n'allait pas rester avec d'autres personnes bien longtemps... M'enfin, s'il insistait dans ces délires de vieux gâteux, L'amiral n'aura rien à se reprocher de le stopper net. Mais pour le moment, il avait d'autres priorités... Une jolie demoiselle venait demander si l'on avait de la crème solaire. Personne n'en avait, mais il suffisait d'en chercher... Puis cette demoiselle valait qu'on s'y intéresse, elle était toujours plus agréable à regarder que le vieux... Kinadir se serait bien levé, mais Ryu venait de le devancer. Il fut rassurer quand il vit celui-ci en train d'épater la galerie avec un toboggan... en cire jaunâtre. Et il fanfaronna de ce truc, clamant ses sensations. Mais pour flatter son égo après une provocation, il décida de passer avant les autres. Il loupa donc, dans son empressement, le beau commentaire de son collègue amiral.

"Je me demandais aussi pourquoi tu faisais autant de réserve dans tes oreilles Ryu..."

Après cette pique brillamment lancée, Kinadir se proposa pour aller chercher de la crème solaire, invitant par la même occasion la demoiselle aux cheveux émeraudes. Cependant, il savait que le vieux pouvait l'en dissuader... Son pouvoir était très embêtant... Ainsi, en passant à sa portée, il lui dit discrètement...

"Si tu dit une seule chose avec ton pouvoir, je te cloue sur place et te bâillonne. Prends cette expression au sens propre."

Puis il repartit vers les cabine, là où un des premières classes avait surement un peu de crème.